Exposition Modigliani à Martigny (Suisse)

Aujourd’hui j’ai eu la chance d’aller voir l’exposition de Modigliani à Martigny. Une première pour moi.

Le musée en lui même n’est pas extraordinaire, mais par contre son petit parc est une splendeur. J’ai pu profiter des dernières chaleurs pour manger dehors et observer les sculptures éparpillées de ci de là.

L’exposition Modigliani a été réalisé en collaboration avec le Centre Pompidou de Paris et des collections particulières. Autant dire que celui qui possède un Modigliani a bien de la chance. En tout cas, j’adore particulièrement son style, surtout pour les portraits féminins.

Voici quelques photos de ma journéeFondation Pierre Gianadda

Jean Cocteau

Jean Cocteau

La femme aux bras derrière la tête

Modigliani

Sculpture Modigliani
Sculpture Modigliani

Modigliani portrait

Jeanne Hébuterne assise : ma préféré !!!

Jeanne Hébuterne assise 

Deluxe

La 15e édition de Woodstower s’est déroulée les 24 et 25 août derniers au Parc de Miribel Jonage. Ce festival est une réelle évasion avant de reprendre le travail en septembre et les programmations sont vraiment éclectiques.

Cette année encore, (même s’il y avait moins de grosses têtes d’affiches) on a profité de supers prestations (malgré la pluie torrentielle).

Ici un petit extrait de Deluxe. Ils mettent le feu sur scène, ils sautent de partout, motivent le public et la chanteuse… OH MY ! Elle possède une voix extraordinaire. Elle a beau sautiller dans tous les sens, sa voix ne vacille pas, bref c’est un régal.

On a également apprécié le set des The toxic Avenger. Le site de Woodstower décrit parfaitement leur musique électro de : « Dense et violente, la touche Toxic Avenger est la combinaison d’une énergie brute et d’un sens de la mélodie imparable. » I love it ! exemple ici

Aufgang nous en a mis plein la tête. Ces 3 jeunes musiciens ont beaucoup de talent ! Il s’agit là d’une musique uniquement instrumentale (piano / batterie). Leur représentation tient de la performance, aux vues de l’enchaînement de leurs morceaux et de leur dynamisme.

Le set des 2 Many Djs était vraiment sympa et malheureusement on s’est perdu dans le programme (qui a été bouleversé à cause de la pluie) donc nous avons loupé Tambour Battant.

See you next year !

Woodstower

Cowboy Bebop

Il y a peu de temps, j’ai découvert (grâce à mon amoureux : l’amour se cultive et nous cultive tel un potager, vous ne trouvez pas? ^^) une ancienne série télévisée d’animation japonaise (moi j’appelle ça un manga, mais c’est avant tout un livre de BD japonaise donc bon je donne le titre exact) qui s’appelle Cowboy Bebop. Je dis ancienne car elle date de 1998 et s’est terminée il y a un moment maintenant. Elle a été créée par Sunrise et réalisée par Shin’ichiro Watanabe. Elle a d’ailleurs été adaptée en film (c’est d’abord comme ça que j’ai découvert Cowboy Bebop) et en manga.

La série raconte l’histoire de chasseurs de prime qui voyagent grâce à un vaisseau spatial, dans un univers futuriste.  Les personnages Spike, Jeto, Faye Valentine, Ed et Ein sont très attachants et ce qui fait le charme de cette série, c’est bien les inspirations qui transpirent à chaque épisode : la science-fiction, les westerns spaghettis, les space opera, les comédies noires etc.

Après quelques recherches j’ai découvert que Cowboy Bebop s’inspire aussi de la culture américaine et notamment des époques du jazz bebop (qui étaient dans les années 50 un style de musique). On comprend donc pourquoi les scènes de combat (arts martiaux) et les batailles en vaisseaux spatiaux sont (si bien) synchronisées avec la musique. Car cette dernière a une place importante dans la réalisation. D’ailleurs chaque épisode est intitulé selon un titre d’une musique, qui influence le contenu de l’épisode.

Je vous conseille donc de regarder les épisodes. A mon grand désarroi il n’y en a que 26. Chaque épisode dure une vingtaine de minutes. Et ce que je vous recommande fortement, c’est de les regarder en japonais sous-titrés (on les trouve en streaming sur internet mais le sous-titre est en anglais. C’est comme ça que j’ai fait pour ma part). Les regarder en VO, ça donne tout de suite plus de charme, car on se plonge totalement dans l’univers manga.

 

Les instants simples

Ce qui caractérise un instant simple (selon moi) : être entouré des personnes que l’on aime, se retrouver dans un décor familier, ressentir une ambiance chaleureuse. Il faut peu de chose mais c’est grâce à des instants comme ceux là que l’on se ressource. Quant à moi, j’ai profité de quelques jours en famille en Haute-Savoie, qui m’ont permis de prendre un bon bol d’air pur.

L'air de la campagne

L’air de la campagne

Le magnifique Lac du Bourget

Le magnifique Lac du Bourget

La Bretagne

J’ai passé quelques jours en Bretagne, du côté de Concarneau. Quelques jours pour s’évader et apprécier cette magnifique région de France.  La Bretagne traduit tout un univers : l’air iodé, la magie de Brocéliande, les plages à perte de vue, le crachin breton, la gastronomie bretonne (poissons et crustacés, les crêpes, mais aussi le plus bon (et le plus gras) : le Kouign Amann!), les bigoudaines, les petites maisons en bord de plage etc etc. La liste est longue, alors je vais m’arrêter parce que je pourrais en parler pendant des heures.

La pointe de la Torche

La pointe de la Torche

3 lignes, 3 couleurs : le ciel bleu, l'océan et la dune

3 contrastes, 3 couleurs : le ciel bleu, l’océan et la dune

On se croirait en Corse

On se croirait en Corse…

Sable

J'ai eu la chance de faire un tour de voilier

Un petit tour en voilier ?

 

Lyon : summertime

L’avantage (si je puis dire) de rester à Lyon durant l’été, c’est de pouvoir apprécier le calme (mais pas la chaleur caniculaire). Beaucoup de lyonnais partent en vacances et la ville est très agréable à vivre (moins de circulation, moins de monde). Il fait chaud (parfois très lourd), mais on peut profiter d’une balade nocturne dans la ville et apprécier les décors, les couleurs de l’été, les lumières de la nuit.

Un nouveau Ninkasi a ouvert ses portes vers Guillotière 

Graffs

Skatepark sur les quais

Skatepark sur les quais du Rhône